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Dans l'archipel des Cyclades, les grandes cités (Sparte, Athènes, Corinthe, Thèbes et Argos) se développent et s'affrontent pour assurer leur suprématie sous le regard bienveillant des Dieux.
Dans cette collaboration entre Bruno Cathala et Ludovic Maublanc, les joueurs doivent la faveur des dieux dans leur course pour être le premier joueur à construire deux villes dans le groupe d'îles de la Grèce antique connu sous le nom des Cyclades.
La victoire exige le respect de tous les dieux : les joueurs ne peuvent pas se permettre de sacrifier à un seul dieu, mais doivent rendre hommage à chacun des cinq dieux à tour de rôle. À chaque tour, les joueurs enchérissent pour les faveurs des dieux, car un seul joueur peut avoir la faveur de chaque dieu par tour - et chaque joueur est également limité à la faveur d'un seul dieu par tour.
- Ares permet le mouvement des armées de joueurs et la construction de forteresses.
- Poséidon permet aux joueurs de déplacer leurs marines et de construire des ports.
- Zeus permet à ses disciples d'embaucher des prêtres et de construire des temples.
- Athéna fournit à ses fidèles des philosophes et des universités.
- Apollon augmente les revenus de ses adorateurs.
Tout d’abord récolter leurs revenus sous forme de Po (production de leurs îles + commerce maritime).
Puis faire des offrandes aux Dieux (enchères). Il faudra parfois dépenser beaucoup pour obtenir les faveurs du Dieu de son choix.
Enfin, en fonction du Dieu obtenu, réaliser les actions qui lui sont spécifiques (chaque Dieu dispose d’une action « gratuite », d’autres étant accessibles en dépensant encore de précieuses Po). L’objectif de chaque joueur est de posséder deux Métropoles à la fin d’un cycle (que ce soit en les construisant et/ou en les conquérant).
La partie prend fin à la fin d’un cycle si au moins un des joueurs a rempli cet objectif. Au cas où plusieurs joueurs atteindraient cet objectif lors d’un même cycle, c’est alors le plus riche (celui qui possède le plus grand nombre de Po) qui l’emporte.
Cyclades - Le Jeu
Avec Cyclades, le tandem Bruno Cathala - Ludovic Maublanc (Mr Jack, Dice Town) revisite le jeu de développement et de conquête.Dans cette collaboration entre Bruno Cathala et Ludovic Maublanc, les joueurs doivent la faveur des dieux dans leur course pour être le premier joueur à construire deux villes dans le groupe d'îles de la Grèce antique connu sous le nom des Cyclades.
La victoire exige le respect de tous les dieux : les joueurs ne peuvent pas se permettre de sacrifier à un seul dieu, mais doivent rendre hommage à chacun des cinq dieux à tour de rôle. À chaque tour, les joueurs enchérissent pour les faveurs des dieux, car un seul joueur peut avoir la faveur de chaque dieu par tour - et chaque joueur est également limité à la faveur d'un seul dieu par tour.
- Ares permet le mouvement des armées de joueurs et la construction de forteresses.
- Poséidon permet aux joueurs de déplacer leurs marines et de construire des ports.
- Zeus permet à ses disciples d'embaucher des prêtres et de construire des temples.
- Athéna fournit à ses fidèles des philosophes et des universités.
- Apollon augmente les revenus de ses adorateurs.
Cyclades - Comment ça marche
Cyclades se déroule en une succession de cycles au cours desquels les joueurs vont :Tout d’abord récolter leurs revenus sous forme de Po (production de leurs îles + commerce maritime).
Puis faire des offrandes aux Dieux (enchères). Il faudra parfois dépenser beaucoup pour obtenir les faveurs du Dieu de son choix.
Enfin, en fonction du Dieu obtenu, réaliser les actions qui lui sont spécifiques (chaque Dieu dispose d’une action « gratuite », d’autres étant accessibles en dépensant encore de précieuses Po). L’objectif de chaque joueur est de posséder deux Métropoles à la fin d’un cycle (que ce soit en les construisant et/ou en les conquérant).
La partie prend fin à la fin d’un cycle si au moins un des joueurs a rempli cet objectif. Au cas où plusieurs joueurs atteindraient cet objectif lors d’un même cycle, c’est alors le plus riche (celui qui possède le plus grand nombre de Po) qui l’emporte.
- Référence Matagot